ALTERC. D’ADRIAN, autre but, ni desseing, que d’aifembler or, argét, biens, ôc richesses.mais plutôt les Actiopcs, qui dédaignoit tellement l’or, qu’ils ne le faifoicnt jiiZeA. feruir, qu’à faire d exh aines, pourtcpoiuAin Au nirliés, &attachés, lescouipablcs, 5c JZh’rs crimineuxi. Nouslifons, du fanocux f.xyZ‘ gladiateur Spartaque, (lequel.ayantJ^J’^'/" alfemblé grand nombre de ferfs, en. treprk la guerrc, côtrc les Romains) qu’il défendit, à tous ses Soldats, . Flutdrque l’usage del’or, & de largcnt fin quedfZ’cTAf- friandise d’en affcmblcr, ne les rc- /*’• tirât du deuoir.* . jSDIU- AVgJAn. i Jiuidijl q^v’SST ce <LV E L*A R G E N Tf iJj.’W* ïi", ".’ rr.cT.r, . XnuidU LIEV d’envie. -.T... ANNOTATION. ’ IL n’i a rien plus véritable, que celui qui êt plâturcux en biens, abon-
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