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’Haui c/lfinis opumfixus mortalibus yüits, Qujeftiafcntcnccde Socratcs.ajoutant dauantage, que les richesses, non seulement n’ont rien en elles d’honnêteté, ni de vertu, mais cncorcs, font cause de tous manx, &vices.7 dequoi " O uidc, en se plaignant disoit. » Je det r ’nbef Ejfodiuntur opesjrritamenta malorum* Et certainement, il doit fuffireaux f i> • A SecTAtes, hommes, d’auoir ce que leur et ne- s "ceffaire. Car étant les richesses, inftru nZ/ijt mens, ils doiuent être proporcion nés â leur fin, , ou toutefois nous voions, ^ (i notre grand difgracc &c malheur) . cette mlferable cupidité, & auarice, des Pclitimere (comme dit Phocylides) de toute iniquité, &c malice : être fi pernicicufement méchante, quellebrigande, & exerce fa cruauté, contre tous, sans cxccpcion aucune.voire contre mêmes les filz, de ces beaux