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la, qu on ne doit mettre foi aux choses peintes.qui font la plus part fauces, & fongces à plaisir.étant les pein très, comme les poètes, licenciée à ^ ofer, Sc peindre, tout ce que leur viéc HofAceen cnfantafie.< -PiCionhm atquepoïtit FArt fom. audendifemptrfmt *quapoteflas. Dont Pline écriuant de la peinture . à bonne raison disoit. quelle êt trompeufc, faliacieufe, & deccuan rli«iAu te.’outrc lêquels témoignages, l’expe Uxrexxx. riencexliicôbatdcZculiSj&Parrha- ‘ ^ fie, cxcellens peintres, s’ils en furent pAnbAfie. onques, rendent la chose plus cuidcn te.car aiantZeufis, prcfcntecs de gi’ap pesdcraifins, fi bien & subtilement peintes, que les oifcaux mêmes cuidans fulfent natureles voloiêt dclfus, pour Icsbéqucter.Parrhafic au contraire, aporta vn linceul, fouz lequel il saignoit être son oeuurc. raportant