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ure. la force dc la guerre, qui défend î »• des Barbares, fa patrie, fa maison, & ^ P ses enfans, êt(dit il)plainc iuftice «, ^ndetl forumî ADK^JAK. . Q.v’e s t c e q V E LE pALAIS ? EPICT.] Ttuiplutn Ubertdtis Artiu Int. gtntium. EPJCtE TE. TEMPLE DE LIBERTE. SPECT a’c £ È DES PLAIDEURS. ANNOTATION. L E Palais (par lequel êt enrcndue ici la iuftice ;) entretient chacun, cn honnête, 5<r grande liberté.ce que Boecedifcourt amplement*. & deuant lui S’.Cyprian, disant.la iuftice du Roi, être la paix du peuple, la jp- JZyJuT téxion de la patrie, l’immunité des Sujets, la confolacion des poures, & d foi mêmes espérance d’une éter-Z 7iu’p»‘ béatitude ». Il êt vrai aufsi, que mi>ue. c/êt vn cchafaut de querelles, noifes, t Boece 4U hure ï.de confoU, philcfi*