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n xji ALTER C. D’A D RIA N, I le corps, malade & fi appaifc fouc Üf’i”/. ucnt, disoit Ouide, l’ire de Dicu ». Sapelouem yidî, cum iam/ïnt fulmina yeüet Ouide *u d^iftercthitre d<(to, /ùJfinuiJp manum. liure 5. d<s Il ne faut pas toutefois, que le Chrcrxjits. s’amufc tant aux facrificcs, & cé-

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rémonies externes, qu’il oublie le fcruice fpiritucl dc Dieu, & la charité •’ “ enucrs son prochain. ce que mêmes les Ethniques, ont conneu. car cômc dit Ouide, les Dieux céléftcs ne se réjoiüfsét pas tant, d’un beuf, ou d’un ouiJe eu thoreau facrifié, que de la pureté, & 14. ■.o./f itre fimphcité dc la foi J. Non boite maétato, ccdeflia nu mina gaudent, Sed quXyprtflandt est, &"/îne tefie fide. Mais encor S.Marc, discourt (ce me fcmble)mieux ceci, en peu dc mots, quâd il dit, Aimer Dicu, dc tout son ccBur, de toute son amc, dctoutesfcs forces. & son prochain, comme foi