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êt fort agréable. non point pour raison des biens sacrifiés : dêquels Dieu n’a point de bcfoing.& car autremét les méchans, qui abonderoient en richefles, offrans à Dieu choses, de pl® grâd valeur, feroicnt mieux acceptés, de Dieu. chose trop malheurcufc à péfer ». Témoing l’oblaciô des deux emjiæ. pytcSjfaitcàDieu, parla poure veufue. quil e fut pas nioins eftimee du Scigneui, que fi elle eût fait présent dc tout le trefor de Créfus. & fut beaucoup mieux rcceuc, que la grand’ ^ offrande des riches ». Mais d’autant, que le Seigneur Dieu, par là, confidérc, poifc, & : balance, l’afféxion des hommcs.au moiên dequoi, le philofophc Héraclite, disoit. que le facrifice êt la médecine dc l’homme.par- " tant qu’il purge l’ame, comme vn bréuage medicinal, purge, & nettoie