Page:Coras - Altercacion.djvu/278

Cette page n’a pas encore été corrigée

qui ne peut être facilcmêt dompté 4. ^^ 4^. Pour la fin il fcmble, que notre Epi- cottuiuio, (ftétc en vn autre lieu, explique plus 7/LZoU. clairement fa réponce, quand traitant de la volupté charnelle, dit, que nous deuons tant qu’il êt cn nous, deuant le mariage, viure purement, & chaftemcnt. & fi la concupiscence nous prcflc,8c contraint, vfer aumoins des choses permifcs. Mais ne fois moléftc, ni fâcheux (dit il) à ceux, qui cn vfent.ni les reprenz, ni leur reproches aufsi, que tu n’en vfes point car cô- ^ meraimer(disoitlePlaucien Démipho) êt vne chose humaine, il apar. ridioH. tient aufsi à fhu manité, de pardonner cette faute *, f Humanum amare cû, humtmum autem irno- ’» ^ Mercdtore, — fiere eJ ?, A cc propos, me fouuiet auoir leu en quelque part.qu’Aléxandre le grand,