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dclices vaines, dc ce monde. d’où ne se peuuent aprés rclcuer : ains peu â pcu, tombent cn la foflc, dc toute pei ne, trauail, Ôr fachcrie.& fi ne font ce léZce AU pc»»âant, rien qui vaille ’.Et certaine liure (. cr mcnt, Ics hommes oififs, ne faifanc Zioliuh. rien, aprennent, disoit M. Caton, de mal faire.Car la vie humaine, êt com ’ mc le fer, lequel trauaillé, & mis en oeuurc, se rend plus beau, & confu-CAtw AU côme la terre, laquelle culliurede tiuec, & labourcc, en fa faiLon, feréd mtnbue. autrement la fougiére, & autres mauuaises herbes, la brûlent, Ôc gâtent. * Negleéits yrendxfillxjnna/cltur agrU. Et fi Ion Ote oifiueté dc l’esprit des hommes, les arcs & puiflanccs d’A- > liure iJe mour, dit OuidcjCcfleront ». réaed. yj toU.ts, perierc Chpidinif arcus Contmpuqf lacent, ^fine Ltcefaces. éittor.