ANNOTATION.
E T l’interrogacion d’Adrian, & la réponce d’Epiâctc, parlans d’Amour 5 s’entendent de la mauuaifc. laquelle certes, n’ct comme Théophrafte disoit, qu’une débordee afféxiondc refprit oifif. à laquelle fentence, se conformant Sénéque, & : décrivant ramour, dit *. s/néjue m yù magna mentis, blandus atque animi calor, Amor e(h, mHenu gignlturjuxu, oock. ondun^ C’êt à dire, que l amour êt vne force grande de rcntendcment, vnc courtoifc, 6c mignardc chaleur d esprit> produite doiGutté, &diffolucion. 6c à cc propos Diogénés aufsi disoit, oyfiuete Vamourcufc affcxion, n’occuper ia-CdHftdrfùt . r ^ • /• Udmçur^ mais autres elpnts, que ceux qui font abondansen oifiueté.laquelle rend noz cfpnts malades, 6c efféminée, les engouftre,6c les abime, auxplâifirs,6c :
