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xx3 ALTERC. D’A D RI A N, C3ufc (Ju fommeil jêc aufsi cause de la Cdupti de mort.& bien que sur les cause$, ils ne ^ se puiffent accorder : à pluGeurs toutefois plaît, la sentence d’Empédoclés. que le rcfroidiflctncnt tempéré, I dc la chaleur, engendre le fommeil. xu7.d !’“ rn^is fi la réfrigération êt excessiue, fUc.phiio. 5^ immodérée, elle cause la mort ’.Sc Ouide au c’êt ce qu’Ouide disoit ». i Lure i— des stulte quid efifimnHtgelidet nifi monts imtgo. legie >. Longa quUfcendi, temporstfata dabunt. Et ailleurs, quand il décrit ample— Sommeil J ment, 8cdoâemcnt, lefommeiL.qui çuidexu n’étât autre cbofe qu’une reuocation liure lo.de • » z’• • • / • i U metd~ d eipnt, aux parties intérieures du morphofe. ^Qjur : àbon droit êt appelé frcre, Sc image dc la mort. Ccque montra Gorgias L.contin par fa réponce, lors qu’abatu de vicillefie, & de maladie, sur le point dc rendre l’amc, se prinr à fommcillcr.car interrogé de quel-