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mort.par laquelle, l’homme aquicrt vn repos éternel. & néanmoins, cn mourant, comme Socratés disoit, il ne sent rien.d’autant que la mort, n’êc qu’un fommeil. ôc ceux qui dorméf, n’ont point de fentimcnt*. dont Ci- phZen ccronfouuêtefoisécrit, que l’image, d7loZZ, 8c vrai simulachre de la mort, êt le, fommeil». Ccqu’AIéxadrelcgrand ZUrJ aufsi, répondit, à ceux qui le disoient euUnn être Dieu, non(ditil) ie me connois mortel, entre autres choses, au fommeil . qui et vnmirocr ôc vrai pourtrait de la mort 4.Epaminôdas Thé- Pluurqut bain, allant dc nuit à l’cntour de son ^Zuxidre camp, ôc trouuant vn dc ceux qui a- ■ uoient la charge faire le guet, endormi. lui mit l’épcc au trauers du corps, ôc le tua.disant ie l’ai trouué mort, ôc mort ie le laiffe. Et certainement, côme les naturels enseignent, ce qui êt FF i)