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par lequel font toutes choses Scnous, ’ Ahre- par lui I. Mais reucnoris à F.pidétc, < !’• qui dit, les Dieux, être signet des leux. Unn, h„n, ^ , euAf. g. par 1 une des deux rations, ce me fem ble. ou partant que comme 1 œil, la plus noble, & précieufc partie du corps connok, 6c découure clairement, toutes choses, qui se prcfcnt lent, ainsi les Dieux, regardent, voient, & contemplent, tout cc que con 1 uniucrs. aûqucls rien ne peut Dieux.AH être caché, dc noz faits, ni de noi in- . . tcncions ttdtl4 4M t. de udFla, DeosnunqHa moYtJitfaüunt^y Sà^’ton, Car c et Dieu, qui êt fcrutateur de Ouidedu no2. coeurs.il voit, foadc5& : contcmliure K.des CC OUt ê dcdaUS yhiûue enim est, TriftaO-id f ., . ^ . o T r C i ilri’t, omntAijue tnjptctr Deuf . oC iClUS, IllZ dC jnete., r- Syrach, au liure de la Sapience, se h (rr..ine Confirmant à Hiérémie le prophète. l7bAp ![’f^’ Les îcux du Seignr, dit il, loüt beau-