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rcgir,3c gouucrncla vie. & nô point t la fagclTc.ni la vertu’ dtf, r, Hu Thfcpbra. ^ • p inCulip Vttam fortuna régit, non Japientu. btne cu(. Et Platon aufsi, a laiflc écrit, que la de, TujeuU fortunCjêt fculc en ce monde, qui ’do a-i raine, comme vn tyran. Au moien ’"’O"’"’* dequoi, au tems pafsé, on saignoit vn combat de vertu, Sc dc fortune. auquel le plus fouucnt, vertu se trouuoitfurmontcc. brefc’ct au iugcrhét de pluricurs, cellc, qui donc les bics, * les dignités.& les richelfcs. Sc quicô duit, & maîtrifc par tour.dont les anciens paignircnt le fimulachrc dc for tune, aueq vn gouucrnal,6c abondan ce dc toutes choses. Nempe dat, &< quodcunque Uhet lortuna, rapitque.

Et bien que la vertu, côme magnanime inuincible, Sc indomtable, ne yalîujétiffe iamais, à Fortune, toute-