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ijfi ALTERC. D’ADRIAN, n’étoient point. LequeÜes fi étoient, car pour elles font, ne font point. Si les choses de ce monde, vaines, &flexibles, étoient : c’êt â dire, auoient quelque être, ou effcnce (comme il feniblc par apparence extérieure) tou tefois à dire proprement ne font point. > partant qu elles n’ont point été pro-’ duites, pour foi mêmes, mais ont cette telle quelle e(fence, pour lefouucrain Dieu, leur créateur, lequel, bien qu’aic voulu que toutes choses vifi- ». ^ feruilfent â l’usage dc I hômc » ; Aripue au ^ jinfi, pat la sentence dc Chryfipliure x.des • jT i• f r Politiques, pe^on pulile dire^touccs choies auoircJrtu au été produites, pour l’homme *.nean- Toutpouf f moins le ciclda terre, les elemens, & lotnaiure . / / • • 1 des Dieux tout 1 uniucFs, a ctc principalement fait, & composé, pour témoigner la P/fdumfii 8^ > ZfiùZ