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guẽts, parfums, & autres choses odoriférantes . dequoi Pline se plaint, d’autant que tels odorem ents (dit il) n’étoient engendrés de nature, que pour feruir, & honorer les Dieux Pline 4U tf On auoit dc coutume aufsi, dc fermer les ïeux, dez qu’il auoit rendu yeux xu l’esprit. Scde les ouurir, lors qu’il étoit mis, sur le Bûcher, pour être bmlê. par là voulant faire entendre, dit Pline, que les ïeux d’un mort, ne doiuct être regardés des hommes, ni cachés ^ pouces AU au ciel*. Dauantage, on lioit les pou- p/me au ces au mort, côme nous dirons, en la UJ. question fuiuante.& fi coron noit on fa tête. Voila pourquoi Pline appelle les coronncs, hôneur des fepulchres, Coronnes. - //•/*• honneur 8c des ames des trépasser 4. mais tel ^ * des/cfuU J- T’ -û. • • / • d, res. coronne ment, dit Epidetc ici, étoit Huren.e.s. fait, pour rendre témoignage, que le combat de la vie étoit accompli. Ea