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propre aux Lcgiftes, qu’aux Philofophes. Senfuit que la mort et. Langage après le . d’autant qu on parle plus dc nous, quand sommes morts, que nous viuans *. Et toutefois EpilAtmtt ^tc ajoute, Dew/frwZ.4rw«. Icquclles ‘-J’ bun icfl certainement, font bien tôt paffecs. car il n’ia rien, comme iadiz A pollo-Jiius disoit’.que plus tôt tarilfe, &dcuicnne sec, que les pleurs, Sc les larmes. D’autant qu’une pafsion vehc» mente, facilement se conuertit, en ennui, & fâcherie K Epiâcte dit a- CUeron mu ’ prés Oubli après la mémoire. Car aprés ■ que la mort a donné argument aux . . vns, 6c aux autres, de parler quelque OuhHies ’, . J * / i ?/ tfipéfiiu peu de iours, des nouucaux t repa liés ; tout vient peu aprés en oubli : mêmes aux amis . Ce que le ieune Pline, écriuant à Albin, discourt clcgâment. quant il dit. La foi en amitié, être fi