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saint defir, quand il plaira à son infinie bonté, & fapience, de quitter ce monde .pour faire notre demeure éternellement aueq son filz notre rcdempteur. &d’endurer plus tôt mille morts, que d’offencer Dieu aucunement, & n’obeïr d ses commandemens. Ce qu’Epidete ajoute après, ^ et aisé d comprendre. de rrro cat la mort, n’êt autre chose, que dif folucionducorps, &del’ame.&par Ciceron 4U ^infijdeftruxion delà vie ^.Et ce que ^rûfiùuZi ^eilfuit. Puijjèmce, sur toute chose yiuante, êt écrit, & répété, par Ciceron, en six l’irAifcn cens lieux, disant, la mort être defi-IT, 8c proposee, d tout viuant J. par TxftuUH» Horace, aufsi quand il dit, tous les étUdS.Pbt. .A 1 111 lifip.crÀU vluans être guettes, & attendus de la ndire. mOft* 4 Omnes yna minet Horxcedtu Hure Mde EtcilcundifêmelyUleths