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Un jour, — pardonnez-moi ce crime, ô grands plastiques !
Un jour, je promenais dans le Louvre, aux Antiques,
Mes rêves d’art intime et de modernité.
Le Musée est très frais et très calme, en été.
Après le Carrousel torride et son asphalte,
Il est doux, par les jours trop chauds, d’y faire halte ;
Car la sérénité des vieux marbres d’Hellas
Rafraîchit le flâneur respectueux et las,
Et lui verse dans l’âme une paix infinie.

Ce fut un jour de juin, devant la Polymnie,