Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t2, 1892.djvu/16

Cette page a été validée par deux contributeurs.

quand une fois nous avons donné notre livre à l’impression, nous n’en prenons pas plus souci que les arbres printaniers, que nous voyons de notre fenêtre, ne s’inquiètent de leurs feuilles mortes du dernier automne.


Mai 1874.