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À Paul Dalloz.

I

Lecteur, à toi ces vers, graves historiens.
De ce que la plupart appelleraient des riens.
Spectateur indulgent qui vis ainsi qu’on rêve,
Qui laisses s’écouler le temps et trouves brève
Cette succession de printemps et d’hivers,
Lecteur mélancolique et doux, à toi ces vers !