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souffrance nous procure de si voluptueuses sensations que j’aperçois les plus âgées d’entre nous étendues sur le sol cuisses ouvertes et se faisant jouir dans les positions les plus inconvenantes.

La pauvre femme hurle piteusement : « Pitié ! pitié ! oh ! oh ! grâce ! Miss Coote ! c’est trop affreux ! oh ! oh ! je m’évanouis, je me meurs ! »

Mais, en proie à une crise de férocité, je m’écrie pour toute réponse : « Non ! non ! pas de danger que vous mouriez ; un gros cul comme le vôtre peut en supporter bien davantage, vous êtes bien trop obstinée pour que je vous tienne quitte à si bon marché ; la verge vous empêchera de vous évanouir. Pourquoi ? pourquoi ? pourquoi ? ne vous excusez-vous pas ? Et de vigoureux coups de revers viennent meurtrir la surface délicate de l’entre-cuisses ; la pauvre maîtresse d’école, suffoque et rugit de souffrance ; mais, son orgueil la soutient et elle ne se décide pas à faire ce que j’exige d’elle.

Fatiguée par ce violent exercice, j’ordonne, comme intermède, d’apporter du champagne, et je m’écrie : « Mesdemoiselles, cette pauvre femme est si courageuse qu’il faut que nous buvions à sa santé. Une demi-douzaine de mes compagnes prennent alors chacune une bouteille, et, à mon signal, tous les bouchons sautent, dirigés vers le postérieur à vif qui