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cierez de mon indulgence et vous en serez quitte ainsi.

Elle compte alors les coups un par un, frappant d’un bras vigoureux ; la surface des fesses devient rose, puis rouge et la peau se couvre de longs sillons.

La victime endure courageusement son châtiment ; elle pince les lèvres pour ne pas crier ; quand sa chair a frémi sous le douzième coup, elle remercie chaleureusement et embrasse avec ardeur l’instrument de la fessée. Elle n’a pas l’air autrement humiliée, elle n’a pas versé une larme, ses yeux brillent d’un éclat sensuel, et elle demande à voix basse qu’on lui permette d’assister à la fessée qui attend Miss Flaybum.

— Quel dommage, dis-je alors, que nous n’ayons pas de chevalet pour la ficeler ; tant pis, nous nous servirons de la table. Disposez Miss Flaybum comme vous avez fait pour Miss Herbert.

La victime se rend compte que toute résistance serait inutile et ne servirait qu’à aggraver sa situation. On la débarrasse de son pantalon et l’on étale aux yeux émerveillés des demoiselles un magnifique postérieur plantureusement rebondi, et un ventre blanc, avec un mont de Vénus pourvu d’une large toison frisée ; la pointe d’un mignon clitoris émerge du sommet de la fente. Elles l’étendent sur la table, bras et jambes écartés, immobilisés par