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abondante chevelure blonde et paraît approcher de la quarantaine. Au fur et à mesure que tombent ses vêtements, on aperçoit ses blanches épaules et ses seins palpitants d’émotion ; des larmes d’humiliation coulent sur ses joues. Elle est bientôt en chemise et en pantalon ; celui-ci colle de façon affriolante sur les masses charnues qu’il recouvre ; il est orné de volants de dentelles ; de jolis mollets en émergent, bien dessinés par des bas de soie couleur chair ; des souliers à hauts talons, à boucles d’argent complètent le costume. Hélas ! quel changement d’aspect, lorsque l’on passe sur le tout l’uniforme de pénitence et la cornette !

— Allons, fais-je alors, elle ne résiste pas, et elle fait bien. Laissons-la ainsi pour qu’elle assiste à la punition de Frau Bildaur ; c’est vous, chère Cécile, qui allez la fouetter avec une verge neuve, pendant que je me reposerai.

La joyeuse Cécile, fraîche et potelée, était très amusante à considérer, faisant siffler la verge aux oreilles de la pauvre Frau. Celle-ci est hissée sur le dos de Maria, on lui rabat sa culotte, on lui retrousse ses jupes et on expose sans le moindre voile son beau fessier bien rebondi.

— Frau Augusta Bildaur, lui dit Cécile, vous allez recevoir douze belles cinglades, vous embrasserez la verge, vous me remer-