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conin portèrent ma surexcitation au paroxysme. Je me démenai peu à peu de la façon la plus lubrique, j’écrasai ma fente sur ses lèvres et, bientôt, dans une sensation impossible à décrire, je sentis un jet traverser mes parties secrètes et j’inondai sa bouche de ma juvénile décharge à l’instant précis où elle récompensait mes soins de la même façon.

Quelques minutes après, nous nous disposions à dormir, non sans nous être promis de bientôt recommencer.

Tel fut mon début dans ma vie de pension ; je ne vous ennuierai pas à vous décrire maintes et maintes scènes semblables qui se déroulèrent par la suite ; je vous dirai simplement qu’il en était de même à peu près chaque nuit ; nous changions fréquemment de partenaires et c’est de là que j’ai pris le goût d’avoir des compagnes de lit, surtout quand elles ont été au préalable bien stimulées par une bonne fessée.

Miss Flaybum usait envers nous de la plus stricte sévérité et fréquemment il nous fallait passer sous la verge qu’elle maniait avec une remarquable virtuosité. Pour ce faire, nous étions, en général, juchées à califourchon sur le dos d’une vigoureuse servante enchantée de jouer son rôle.

Avant de fermer cette lettre, je veux vous donner un échantillon de la façon dont nous étions châtiées à mon époque.

Je ne puis me rappeler exactement pourquoi