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Mademoiselle. — Oh ! Non ! Je ne demanderai pas pardon. J’aime bien trop les petits conins sans barbe comme le vôtre.

Rosa. — Qu’osez-vous dire ? Je vous apprendrai à être plus respectueuse envers votre maîtresse d’école ! Comme cela, est-ce assez fort ? Et cette fois-ci ? Deux coups vertement appliqués en pleines fesses marquèrent leur trace en rouge et lui arrachèrent une exclamation de souffrance.

Mademoiselle. — Ah ! Ah ! Ah ! trop fort ! Oh ! Oh ! Vous n’y allez pas de main morte, petit démon ! Loin de m’arrêter, je frappai de plus belle, si bien qu’elle gigotta et se débattit sous les touches sanglantes qui marquèrent sa chair en tous sens.

Rosa. — Petit démon ! Ah vraiment. Eh bien ! je crois que vous allez me demander aussi pardon pour cela ! Malhonnête ! Comment osez-vous traiter ainsi votre gouvernante ? Mais je vous rabattrai le caquet, quitte à vous mettre le derrière en charpie. Tenez ! Tenez ! Tenez ! Cette fois, ce fut sur la partie sensible des cuisses que je dirigeai mes coups. « Serez-vous encore malhonnête… dites… m’insulterez-vous encore ? Hein ? Hein ? Vous savez… si… si… si je vous cingle… trop fort… vous… vous pouvez me le dire… Ah ! Ah ! je vois par les contorsions de votre gros cul que cela n’est pas de votre goût.

Tout le temps que je parlais, la verge faisait