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pussions parler. Bref, l’audace du jeune homme triompha de mes dernières résistances et nous nageâmes dans un océan de volupté. Naturellement, j’éprouvai une légère souffrance quand l’envahisseur déchira ma membrane sous sa fougueuse poussée, mais elle disparut bien vite sous l’impression d’exquise volupté que j’éprouvai ensuite.

Il renouvela plusieurs fois ses prouesses, ce qui finit par le fatiguer ; j’eus alors, de nouveau, recours à la verge pour le remettre en état de me satisfaire ; puis, lorsque je craignis de l’épuiser en exigeant de lui plus que la nature ne lui permettait, j’obtins qu’il me fouettât lui-même pour prolonger mes voluptueuses sensations. Après les douceurs du baisage, la fessée est délicieuse si elle est adroitement appliquée ! Mon jeune amant voulait encore me faire jouir, mais je m’y refusai, lui promettant que je le laisserais venir le soir même dans ma chambre et qu’il m’aurait à lui toute la nuit. D’ici là il aurait le temps de reprendre les forces nécessaires.

Cette liaison avec mon page dura trois ou quatre années pendant lesquelles j’épuisai la coupe de toutes les voluptés ; puis je fus obligée de me séparer de lui en raison de son apparence trop virile et pour ne pas éveiller la médisance. Un peu plus tard, sur mes conseils, et avec mon aide, il se maria, entra dans les affaires où il fit son chemin. Tant qu’il