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sante, ne nous dénoncez pas ! Jamais nous ne recommencerons ! Punissez-nous n’importe comment, mais que personne n’apprenne ce que nous avons fait ! »

Moi. — C’est abominable ! Je ne sais vraiment si je dois avoir pitié de vous et vous garder le secret. Savez-vous que vous êtes coupable d’inceste et que vous méritez la potence ?

Charlie (sanglotant amèrement). — Quoi ? Pour cela ? Je n’étais allé dans sa chambre, hier soir, que pour l’embrasser. Je me suis étendu sans y penser, à côté d’elle, et puis… et puis… nos baisers…, la chaleur de nos corps nous ont excités… si bien que j’ai passé la nuit à côté d’elle et que vous m’avez découvert ce matin.

Moi. — Il vous en cuira à tous les deux ! Je vais vous fouetter, de façon à vous ôter l’envie de recommencer, mais si jamais je vous y reprenais, je vous ferais mettre en prison. Maintenant, monsieur, enlevez votre veste et votre culotte, et tournez votre derrière de mon côté.

Il avait l’air affreusement humilié en exécutant mes ordres, mais trop terrifié pour faire la moindre observation, et me tournant le dos, il fut bientôt en chemise, la culotte aux talons.

Moi. — Agenouillez-vous sur cette chaise, tournez votre figure vers le dossier, retroussez votre chemise sous vos bras pour bien présenter votre cul nu à la verge et si vous ne vous