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silencieusement comme j’étais venue, mais ce lubrique tableau me cloua au sol et je demeurai témoin volontaire du lascif engagement. Le membre viril du bel adolescent était presque aussi fort que celui de M. Aubrey mentionné dans ma dernière lettre ; il était raide comme un bâton et je ne pouvais en détacher mes yeux. Je le regardais se pousser dans le vagin, en sortir un peu et s’y plonger avec une fougue toujours croissante ; sa sœur l’encourageait et l’excitait en soulevant voluptueusement la croupe à chacune des poussées. La porte était presque au pied du lit et comme ils ne se doutaient guère de ma présence, je n’eus qu’à m’agenouiller pour observer la scène d’un bout à l’autre, sans être aperçue d’eux.

Je tremblais littéralement d’émotion. C’était la première fois que j’assistais à pareil spectacle, et le fait que les deux amants étaient frère et sœur me le rendait plus piquant encore. Ah ! comme ils semblaient s’adorer et jouir l’un de l’autre ! Leurs corps étaient comme soudés. Les lèvres du vagin de Jane semblaient littéralement sucer l’engin fraternel, elles le happaient, et, lorsqu’il se retirait, elles faisaient saillie en dehors comme pour l’empêcher de s’échapper. Trop vite à mon gré, la conclusion arriva, et tous deux se pâmèrent en une réciproque émission, au moment même où mon propre minet, trop surexcité, mouil-