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turbulentes. Mon amie est à cheval sur la discipline et réprime par la verge tous les écarts de conduite. Bien que jeune encore (elle n’a que vingt-quatre ans), elle dresse les enfants comme la plus expérimentée des maîtresses d’école pourrait le faire.

L’autre jour, la seconde fille, qui a environ quatorze ans, dit à son frère qu’elle pourrait lui montrer comment se faisaient les enfants. Et de fait, elle l’instruisit si bien que le gamin, qui n’a que treize ans, usa, quelques jours après, de privautés fort inconvenantes vis-à-vis d’une très jolie jeune fille de quinze ans, qui sert de soubrette à mon amie.

Cette fille se plaignit à sa maîtresse, qui, jugeant sa nièce aussi coupable, si ce n’est plus, que son neveu, envoya immédiatement acheter un balai de bouleau neuf, car elle avait décidé de les fouetter de belle façon.

Elle choisit dans le balai les brins les plus verts et les plus forts, et se confectionna deux belles verges. Commençant par sa nièce, elle lui épingla la chemise aux épaules et lui attacha les mains par devant pour l’empêcher de s’en protéger le postérieur. Elle lui donna alors de la verge sur les fesses aussi fort qu’elle put, et sans interruption jusqu’à ce que la fatigue de son bras l’empêchât de continuer.

S’étant reposée quelques minutes, elle s’empara alors du gamin, lui rabattit la culotte aux