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tions voluptueuses que vous avez éprouvées ce jour-là.

Tout en parlant, elle cingle sans trêve Lucrétia sur toute la surface des fesses étalées ; elle fait pénétrer la pointe des verges en dedans des cuisses écartées et sur le minet à découvert. Et pendant ce temps, Franck dévore des yeux le postérieur de sa maîtresse ; chaque coup qui vient marbrer les fesses semble se communiquer à lui et le fait frissonner, il n’a jamais éprouvé pareille sensation ; c’est un délicieux régal pour sa sensualité.

Mlle Fosse continue à s’en donner à cœur joie et applique si fort la verge que le sang commence bientôt à pointer sur les fesses et les cuisses de Lucrétia. La pauvre fille se plaint douloureusement et pousse des cris nerveux : « Oh ! oh ! je m’évanouis ! je succombe ! » etc. Ses cuisses et ses fesses se contorsionnent en même temps de la plus bizarre façon.

Alors la Présidente intervient, verge en mains et dit « Je suppose que maître Frank a hâte de goûter à son tour aux délices de la verge. Épinglez-lui sa chemise aussi décemment que possible, je désire seulement découvrir son derrière et je ne tiens pas à ce que le devant soit exposé à notre vue.

Frank était si absorbé à contempler l’intéressant tableau de Lucrétia fouettée qu’il ne s’aperçut pas qu’on épinglait sa chemise à ses