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mais elle se reprend vivement avant que Louisa ait pu noter son erreur. « Encore deux ! » soupire-t-elle, calculant les échelons qui restent à gravir.

— Les cuisses droites, de façon à bien exposer votre cul, lui dit Louise, en tapotant de la verge le minet que cette position presque horizontale met en saillie. Puis, « six !… sept ! » Ces deux derniers coups sont appliqués encore plus fort, mais la victime n’a pas bronché, et d’unanimes bravos saluent son énergie. Jane profite de sa position pour attacher les chevilles de la patiente qui se trouve fixée dans la position la plus favorable pour une nouvelle flagellation.

— Merci, Jane, vous avez une excellente idée, fait Louise. Eh bien, sœur Lucretia, il faut nous raconter tout ce qui s’est passé entre vous et le jeune Aubrey. Miss Coote ne vous en a pas fait confesser la moitié.

Et elle caresse les fesses tendues de petits coups de verges. Écorchée comme est Lucretia, ces légers coups lui sont néanmoins pénibles, car une grimace de souffrance crispe ses traits.

— Oh ! oh ! je vous en supplie ! fait-elle, ne recommencez pas ! Je vous ai dit qu’il avait pris des libertés avec moi. Que puis-je vous dire de plus ? Oh ! oh ! ne me touchez pas, le moindre contact de la verge me fait un mal affreux.