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nifeste sa souffrance par des cris aigus : « Holà ! ah ! oh ! ça fait trop mal ! je n’en peux plus ! Épargnez-moi ! » Les muscles de son dos et de ses reins montrent par leur tension la sensation de souffrance qu’aggrave encore sa position écartelée.

Miss Coote. — Quoi ! vous criez déjà ? où donc est votre courage ? Vos filles sont moins douillettes que vous ! Au fait, criez si vous voulez, cela vous empêchera peut-être de sentir mes coups. Je ne fais que commencer et ne suis pas encore bien en train. Allons ! Je continue !

Vzz ! vzz ! vzz ! la verge reprend son office et s’abat lentement et méthodiquement, pendant deux longues minutes.

La Victime. — Ah ! de pareilles souffrances sont-elles possibles ! Si vous devez continuer, j’aime mieux mourir de suite.

Miss Coote. — Taisez-vous, grosse éhontée ! Volerez-vous encore ? Élèverez-vous vos enfants dans l’honnêteté, maintenant ? Que dites-vous de cette distribution de coups de verges ? Je suis sûre que cela vous réchauffera les fesses !

Les coups se succèdent, les brindilles se brisent au contact des fesses, non sans dégâts pour celles-ci. Mme White hurle sa souffrance aux échos de la salle : « Ahh ! atroce ! atroce ! Ce sont des fers rouges que vous m’enfoncez dans la chair ! oui ! j’avoue ! je l’ai mérité !