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sont roses comme des pêches. Les deux fillettes pleurent et crient à qui mieux mieux, rejetant les torts d’abord sur leur père, puis sur leur mère, lorsqu’elles voient qu’il ne sert à rien de mentir.

Je dis alors à Jane de nous apporter à chacune une verge légère. Puis, je lui ordonne d’attacher au poteau de punition les deux petites victimes et de leur passer un pantalon pour abriter leurs petites fesses rouges.

Jane exécute l’ordre et les attache côte à côte par les poignets, les bras tendus au dessus de leur tête, la pointe de leurs pieds atteignant juste le parquet. Elle étale ensuite deux petits pantalons de très fine batiste, presque aussi transparente que de la mousseline, de sorte que la chair rose est visible au travers. Ces pantalons avaient été choisis par elle, un peu trop petits ; ils plaquent sur les formes d’autant mieux que les juvéniles postérieurs sont très développés pour leur âge. La fente laisse, par derrière, un espace vide de six pouces de large qui démasque un exquis morceau de chair rouge des deux côtés de la raie des fesses. Comme préliminaires des plaisirs que la fessée va me procurer, je me délecte du manège de Jane qui, pour les préparer à la séance, dispose la chemise dans le pantalon, leur fait lever les jambes l’une après l’autre, leur fait prendre des postures variées, et prend consciencieusement son temps pour