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compagnons ; et il faut espérer que la Providence qui a tempéré d’une manière toute spéciale, les uns par les autres, les différents cercles et les zones de notre globe, plaçant les uns sous les feux d’un soleil brûlant, et les autres sous les glaces, daignera veiller sur ces hardis voyageurs et les rendre à leurs amis et à leur pays. S’il en arrivait autrement, leurs noms mériteraient de passer à la postérité, car ils se seraient sacrifiés au louable désir d’élargir le cercle de la science humaine, et d’ajouter ainsi, nous le croyons, au tribut d’hommages que nous devons à la gloire de Dieu.