mains et le tire le plus fort qu’il peut, ensuite il regarde et constate la justesse de l’observation faite par son père. « En effet, » dit-il, « il est trop tôt pour que je me marie, mon υιτ n’est pas encore assez grand, il ne va pas jusqu’à mon κυλ ! Il faut attendre un an ou deux. » Le temps se passe, l’imbécile ne s’occupe qu’à allonger son υιτ ; voilà qu’il est parvenu à ses fins : son υιτ non seulement arrive jusqu’au κυλ, mais le dépasse ! « À présent, » dit le jeune homme, « je puis me marier sans déshonneur, j’ai de quoi satisfaire ma femme et elle n’aura pas besoin d’aller avec d’autres ! » Quel jugement attendre d’un imbécile ? pense à part soi le père, et il répond au jeune homme : — « Eh bien, mon fils, puisque ton υιτ a tellement grandi qu’il atteint ton κυλ, tu n’as que faire de te marier ; reste garçon, continue à demeurer ici et φους-toi avec ton υιτ… » Ainsi finit l’histoire.
XIII
LA TÊTE DE BROCHET
ne jeune paysanne alla un jour herser dans
le clos de ses parents. Elle travaillait depuis
longtemps lorsqu’on l’appela à la maison pour man-