κυλ d’une femme. » Ils se séparèrent. Le lendemain, ils se rencontrèrent de nouveau. « Eh bien ! comment as-tu dormi ? » demanda le pou. — « Ne m’en parle pas ! j’ai eu si peur ! Une espèce de chauve est venu vers moi et a commencé à me donner la chasse, je sautais çà et là, mais il ne cessait de me poursuivre ; ensuite il a craché sur moi et s’est retiré ! — Eh bien ! ma commère, il y en a deux qui cognaient à l’endroit où je me trouvais, je me suis caché, ils ont continué à cogner et à la fin sont partis. »
VIII
LE PIC
ne paysanne prit un pic et le mit en cage.
Quand son mari revint à la maison, elle lui
apprit la capture qu’elle avait faite. « Où est maintenant
ce pic ? Tu ne l’as pas laissé s’envoler ? »
demanda-t-il. — « Je l’ai mis en cage, » répondit
la femme. — « Très bien ! Je vais lui faire son affaire !
Je vais le dévorer tout vif. » Il ouvrit la cage,
mais comme il allait donner un coup de dents au
pic, celui-ci vola dans la bouche de l’homme, dont
il parcourut tout le corps jusqu’au κυλ, puis, pas-