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demeurèrent à Nanking et jouirent tous d’une grande aisance.

Les modernes ont une pièce de vers qui dit :

Les vertus du vieux Lieou n’ont pas duré jusqu’à sa mort,
Et les malheurs de maître Soung lui ont procuré la prospérité.
La prière du Kin-kang a guéri par degrés sa cruelle maladie,
Et le vieux chapeau déchiré a réuni la chair et les os.

FIN DU PREMIER VOLUME.