Page:Contes allemands du temps passé (1869).djvu/82

Cette page a été validée par deux contributeurs.

« Tu as maintenant la récompense de tes services, » dit la dame Hollé en fermant la porte.

C’est ainsi que la paresseuse s’en retourna toute couverte de poix ; et quand le coq, perché sur le puits, l’eut aperçue, il chanta :

« Kikeriki, kikeriki !
Notre enfant malpropre est ici. »

La poix ne voulut jamais s’en aller, et la paresseuse fut obligée de la garder aussi longtemps qu’elle vécut.