Le phalanstère.
§ I.
Rappelons-nous que, sous l’influence du principe d’Association, les propriétés individuelles et morcelées du canton se sont converties en Actions hypothéquées sur l’ensemble de ses richesses. Haies, barrières, démarcations, fossés croupissants, murs de clôture aimablement couronnés de tessons de bouteilles, toutes les incohérences, toutes les laideurs, toutes les infamies défensives du Morcellement, qui coupent, hachent, gâchent et bariolent misérablement le terrain ont disparu ; les cultures sont distribuées avec une élégante et sage variété dans le grand domaine unitaire.
Le Phalanstère s’élève au centre des cultures.
La Phalange n’a que faire de quatre cents cuisines, quatre cents étables, quatre cents caves, quatre cents greniers ; elle n’a que faire de cette multiplicité de ma-