de M. Rout se fit entendre de nouveau dans les profondeurs ; les pulsations reprirent par lentes saccades — puis s’accélèrèrent.
M. Rout était revenu au porte-voix :
— « Ça n’a pas beaucoup d’importance, ce que font les Chinois » dit-il hâtivement ; puis, avec irritation : « Le navire plonge, comme s’il n’allait jamais en revenir.
— Très grosse mer. » fit la voix du capitaine Mac Whirr.
— « Avertissez-moi à temps » aboya Salomon Rout dans le porte-voix.
— « Pluie et nuit. Peux pas voir ce qui vient » dit la voix. « Il faut bien — le — garder — en marche — de façon à continuer à gouverner — et courir la chance » continua-t-elle détachant distinctement tous les mots.
— « Je donne tout ce que j’ose.
— Nous sommes — joliment — secoués là-haut » poursuivit la voix avec douceur. « Pourtant — ça ne va pas trop mal — Ah ! naturellement, si la timonerie était emportée… »
M. Rout, penchant une oreille attentive