Page:Congreve - L’Inde, 1858.djvu/20

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Je demanderais volontiers aux lecteurs impartiaux de me juger d’après l’épigraphe de ma premiere page, qui rend l’esprit dans lequel ce travail a été conçu. Car, je crois que le temps est venu de proclamer hautement les enseignements du Positivisme, et de produire au grand jour, sans hésitation comme sans réticence, les solutions morales fournies par ce système aux grandes questions qui agitent la société tout entière. Je ne décline pas le périlleux honneur de l’avant-garde.

Il ne s’agit point ici d’exposer les bases dogmatiques ni le système religieux qui constitue le Positivisme ; je dois me renfermer, comme pour Gibraltar, dans l’application de ses principes àt un cas special. C’est à ce point de vue