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résolus à poursuivre son œuvre, Je l’offre encore comme une preuve de sympathie à tous ceux qui partagent ma foi. Je le mets enfin au service de l’Humanité.

Il faut payer de sa personne. Quand j’attaque aussi ouvertement, je ne songe pas à m’abriter. Je ne me fais pas non plus illusion sur l’accueil réservé aux opinions que ces pages renferment. Cependant, je n’ai pas écrit avec mépris pour les idées qui sont encore en vigueur dans ce pays, ni dans un esprit d’opposition frondeuse envers le sentiment de la majorité.

 « Io parlo per ver diro,
Non per odio d’altrui, nè per disprezzo. »