Page:Congreve - L’Inde, 1858.djvu/126

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

gieuses admises en ce pays, nous devons les laisser subsister, tant qu’elles sont capables de se maintenir. L’activité des hommes d’État et des philosophes peut amplement s’exercer ailleurs ; et il y a réellement quelque chose d’absurde dans la manière dont nous nous conduisons aux Indes à cet égard. Aucun gouvernement ne tient plus que le nôtre à l’ordre actuel ; aucun ne se pique davantage de se rattacher aux précédents, aucun n’est plus fier « de la lente expansion de la liberté. » Or ce même gouvernement procède à l’égard des vieilles théocraties in-

    mins de fer, nos télégraphes électriques, etc., détruisent leur religion, et qu’ils ne peuvent plus supporter un tel état de choses. »