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Le 10 mai 1867, M. Charles de Gaulle, secrétaire d’une Société bretonne, instituée à Paris sous le titre de Breuriez-Breiz, entrait en rapport avec le Président de la Société d’Émulation des Côtes-du-Nord, et lui adressait une longue lettre, dont suit le résumé :

« L’Association Bretonne, dans la dernière année de son existence, disait M. de Gaulle, avait invité les Sociétés savantes du pays de Galles à envoyer des délégués à son prochain Congrès ; la dissolution de l’Association ne permit pas de donner suite à ce projet. A défaut de l’Association bretonne, le Breuriez-Breiz avait cherché et réussi à établir des rapports suivis avec le pays de Galles ; et, au milieu de 1865, le Cambrian-Institute avait obtenu, du Ministre de l’Intérieur de France, l’autorisation pour