la chasteté avec laquelle Poussin a traité le sujet délicat de la maladie des Philistins, et analyse sommairement le discours de Champaigne le Neveu. Nous nous en rapportons à l’opinion du copiste du xviiie siècle qui, après avoir écrit : « Je mettrais (sans doute dans les archives de l’Académie) l’extrait de M. de Saint-Georges. Quoiqu’il y ait un pen d’humeur contre M. de Champaigne, il est bien… » a ajouté en marge : « Il me paraît pourtant qu’il y a bien des chimères dans l’extrait de M. de Saint-Georges, qu’il ne serait pas sage que l’Académie adoptât. »
Disons enfin que le même cahier où se trouvent la conférence de Champaigne et la note de Guillet de Saint-Georges contient aussi une rédaction un peu abrégée de cette même conférence.