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sentant le Corps du Sauveur qu’on porte au tombeau ; un sur la Rébecca de M. Poussin ; un sur le Moïse de M. Poussin, un sur l’Effet des ombres, un sur l’Enfant Jésus de Titien, un contre les Copistes des manières et un sur l’Enlèvement de Déjanire du Guide[1] ». Les deux premières de ces conférences se retrouvent dans ce volume : nous ignorons ce que sont devenues les cinq autres.

L’analyse du discours sur Éliézer et Rébecca, que nous reproduisons ici, a paru pour la première fois en 1854 dans les Mémoires inédits sur la vie et les ouvrages des membres de l’Académie royale de peinture et de sculpture, publiés d’après les manuscrits conservés à l’École impériale des beaux-arts, par MM. L. Dussieux, E. Soulié, Ph. de Chennevières, Paul Mantz, A. de Montaiglon (Paris, J.-B. Dumoulin, 2 vol. in-8o), t. Ier, p. 245-258.

Le tableau de Poussin, analysé par Philippe de Champaigne, est au Louvre[2]. Il provient de la collection de Louis XIV.

  1. Mémoires inédits sur la vie et les ouvrages des membres de l’Académie royale de peinture et de sculpture, t. Ier, p. 241.
  2. No 415 du catalogue de Frédéric Villot, édition de 1874.