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celui de cet ouvrage même. C’est, entre autres choses, à quoi on se propose de suppléer.

Cet ouvrage a trois parties. Dans la première, je donne, sur le commerce, des notions élémentaires, que je détermine d’après des suppositions ; et je développe les principes de la science économique. Dans la seconde, je fais d’autres suppositions, pour juger de l’influence que le commerce et le gouvernement doivent avoir l’un sur l’autre. Dans la troisième, je les considère tous deux d’après les faits, afin de m’appuyer sur l’expérience autant que sur le raisonnement.

Je dirai souvent des choses fort communes. Mais, s’il étoit nécessaire de les remarquer pour parler sur