Page:Conan - L'oublié, 1900.djvu/168

Cette page a été validée par deux contributeurs.
176
L’OUBLIÉ
 Les corrections sont expliquées en page de discussion

Anita alla prendre un manteau accroché à la muraille et l’en couvrit, puis elle s’assit par terre à ses pieds ; et, après l’avoir un peu regardée avec compassion, elle lui dit de sa voix musicale :



— Tu aurais donc bien de la peine si ton mari s’en allait au ciel.