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SÉANCE DU 7 AVRIL 1931.

/ 8 y 8’, h— a.

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et nous concluons que

D ( ?.) |< A 2 i >■ Ier <b - à Ye~ ^ ’ ^ ï*^’" ~" "" < f.+’«"»’l’-l.

Théorème III (’). — Si les nombres dérivés ri"""* par rapport à x et m ieme * par rapport à y du noyau, YL(x, y) sont bornés dans les intervalles a<x<b, a<y<b, F ordre de la fonction DÇa) ne peut pas être plus grand

9 ne ^

îm + an + i

c’est-à-dire que

Y){)<ke à W" + ’^ i. Pour la démonstration nous utilisons l’égalité

K(y ? t, x,) K(x t, x 2).. K(x 2, x t) K(x^, x t)..

K(x., x p)

K(x p, x p)

K (Xp, x x) K (Xp, x t). < Y[ (^-■e, ^)...(x i -x i+n) Y (x k ^-x k+,)...)x k -x k+m)M v P-,

^i<p-n i<K<p-m

où M est la limite supérieure des nombres dérivés dans nos intervalles pour x et y, et ô^a^a^...>x p >a.

photo-électricité. — Cycles et traînage dans les cellules photo-électriques à atmosphère gazeuse. Note (a) de M. G.-A. Bootbt, présentée par M. Ch. Fabry.

Nous avons étudié (3) les propriétés d’une cellule photo-électrique à atmosphère gazeuse dans le cas où les mesures étaient brèves et où la tension et le flux lumineux appliqués à la cellule étaient ramenés à zéro avant chaque détermination. Un tel mode opératoire étant rarement utilisable, nous avons tracé les courbes caractéristiques de quelques cellules en faisant croître ou décroître de façon continue les variables précédentes. La figure ci-après

(>) M. Lusternick m’a fait savoir et a démontré ce dernier théorème dans le cas « = o et m quelconque.

(2) Séance du 3o mars iç ;3i.

(3) Comptes rendus, 192, 1981, p. 4n et 620.