des affections cholériques ; suivi d’un Appendice sur la névropathie épidémique des nerfs trijumeaux et ses fâcheux effets sur la vue ».
2°. Madame S. Merito, de Nice : « Note sur une méthode de traitement du choléra, employée avec succès dans l’Inde, et qui l’a été récemment, avec un égal succès, en Europe ».
« Cette méthode de traitement, dit l’auteur de la Note, avait été découverte, il y a plus d’un siècle, par un de mes ancêtres qui résidait dans une partie de l’Inde où le choléra exerça fréquemment ses ravages ; elle fut transmise par lui à sa famille, et est arrivée ainsi jusqu’à moi, qui ai eu l’occasion d’en constater l’efficacité. À Londres, dans diverses parties des États-Sardes et du midi de la France, elle a réussi complètement ».
3°. M. Polin, de Saint-Laurent (Meuse) : « Considérations sur les épidémies en général, et en particulier sur le choléra-morbus épidémique ». Formule de traitement.
4°. M. Virolle, de Saint-Junien (Haute-Vienne) : « Note sur les effets du vin chaud miellé pour le traitement des cholériques ».
5". M. Pacini, professeur d’anatomie à Florence : « Des recherches microscopiques sur le choléra-morbus, suivies de déductions pathologiques » (exposées dans la Gazette médicale italienne de Toscane ; nos du 12 et du 19 décembre 1854).
M. Moreac, en présentant au concours pour les prix de Médecine et de Chirurgie son travail sur l’Étiologie de l'épilepsie, y joint, pour se conformer à une condition imposée aux concurrents, une indication des parties de ses recherches qu’il considère comme neuves.
M. Giraudet adresse au concours pour le prix de Statistique un travail considérable ayant pour titre : « Statistique de la ville de Tours, ou Recherches historiques et statistiques sur le mouvement de sa population depuis 1632 jusqu’à 1847 ".